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- Comment faire un trait droit
sans règle :

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- Le sens des hachures :
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- Pourquoi différents crayons :
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- Comment dessiner de l'herbe :
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Autres exercices.

a

1°) La boîte à tirroir.


Maintenant que nous avons vu sur la page d'accueil comment dessiner des cubes, vous allez essayer de dessiner la boîte d'allumettes ci-contre, en utilisant le même principe.

En fait il serait plus judicieux de dire : vous devez maintenant dessiner une boîte à tiroir vue de dessus en vous inspirant du modèle ci-contre. Car ne l'oubliez pas au stade actuel, seule la vraisemblance nous préoccupe et non la ressemblance.

Seules obligations pour cet exercice, il faut voir une partie du fond du tiroir comme sur le modèle et il faut que la ligne d'horizon et les traits qui la rejoignent (appelés généralement fuyantes) soient visibles.

Après avoir fait l'exercice, allez voir la correction en cliquant ici.

Passons maintenant à un autre exercice.

2°) Les livres.


b


Vous allez maintenant dessiner ce livre. Comme toujours, la ligne d'horizon et les fuyantes doivent être visibles.

Seules précisions : ne mettez pas les points de fuite aux extrémités de votre feuille mais au moins à 5 cm des bords et ne repassez pas encore les contours du livre.

Avant de passer à l'étape suivante, allez vérifier en cliquant ici.

c



Dessinez maintenant un deuxième livre posé sur le premier. Réfléchissez bien avant de commencer. Observez et analysez bien le modèle et prenez les décisions qui s'imposent. Et surtout dès que vous tracez un trait vérifiez s'il correspond bien à celui du modèle.

Seule précision : avant de repasser les traits pour bien faire ressortir les livres, allez voir la correction.

Si vous ne doutez de l'exactitude de votre dessin, allez voir la correction en cliquant ici.


3°) Le crayon.


e


Maintenant vous devez dessiner ce crayon. Mais attention, je ne veux pas d'un crayon ordinaire comme sur la photo. Le crayon que vous devez dessiner doit être un crayon imposant qui a du caractère. Un crayon agréable à regarder et qui retienne toute notre attention.

Bref, ce qu'il faut faire c'est un crayon avec la pointe en avant, comme sur le modèle, mais qui dégage un maximum d'émotion tout en nous paraissant très réel.

Après avoir fait l'exercice, allez voir la correction en cliquant ici.

e4

4°) Le Château.



Maintenant nous passons de la théorie à la pratique. Vous allez dessiner ce château mais pas de panique, je vous guiderai pas à pas. Passer du simple cube à un château peut sembler illusoire. C'est vrai, mais cela vous permet de constater que c'est avec des règles simples que l'on réalise des sujets complexes. Si vous suivez toutes mes explications, sans appréhension, vous verrez que vous vous surprendrez.

Pour commencer, toutes les explications sont données par écrit comme dans un livre. C'est long et rébarbatif mais c'est voulu. Mais vous pourrez également avoir les explications en vidéo.

Ne soyez pas tentés, commencer par dessiner ce château en suivant les explications écrites pour bien comprendre la mécanique de la réalisation d'un tel sujet. Puis regardez la vidéo. Vous pourrez ainsi comparer les deux méthodes et constater à quel point les explications orales sont plus digestes que les écrites.

Commencez l'exercice maintenant en cliquant sur l'image.

Ca y est ? Vous avez fait votre château ?

Bon, peut importe le résultat. Ce qui compte pour moi, c'est que vous ayez essayé.

Ne vous découragez pas, c'est un sujet compliqué surtout pour un début. Maintenant recommencez l'exercice mais cette fois en suivant la vidéo. Vous pouvez l'arrêter quand vous voulez et revenir en arrière autant de fois que vous le désirez de façon à bien comprendre mes explications mais également pour bien observer comment je m'y prends.

Courage! C'est avant tout votre motivation qui vous permettra d'y arriver. Faites et refaites cet exercice autant de fois que nécessaire et vous verrez le résultat sera au rendez-vous.

Pour voir la vidéo cliquez ici.

Bon! Pour un début en perspective nous avons bien travaillé. Bien sur il vous reste encore pas mal de choses à savoir pour bien maîtriser la perspective, nous aurons la possibilité d'en reparler plus tard.

Voilà, il vous reste encore pas mal à découvrir sur la perspective. Je ne vous ai mis ici que les bases que vous pouvez lire dans les livres mais expliqué de façon plus compréhensible.

Ici s'achève la partie gratuite sur la perspective. Pour continuer votre formation, si ma pédagogie vous convient, je vous invite à poursuivre avec mon Vidéostage N°1 sur La perspective.

Nous allons maintenant changer de sujet et parler du mélange des couleurs.

Youpiiiii !!!



LE MELANGE DES COULEURS



En peinture (comme en imprimerie) il est possible de réaliser toutes les couleurs qui existent par le mélange d’un nombre très réduit de couleurs de base. Ce nombre est tellement réduit qu’il se limite à trois.

Rouge . Jaune . Bleu


C’est donc à partir de ces trois couleurs qu’il va nous être possible de réaliser toutes les autres. Pour cela il nous faudra les mélanger entre elles. Mais avant quelques remarques s’imposent.

Tout d’abord à quoi ressemblent ces couleurs et comment se nomment-elles ?


Ensuite il faut savoir que ces couleurs sont pures. C’est-à-dire que dans le magenta il n'y a que du rouge pur, dans le jaune que du jaune pur et dans le cyan que du bleu pur.

Ce qui signifie que ces couleurs ne peuvent pas s’obtenir par mélange, d’où leur appellation :

COULEURS PRIMAIRES


Passons maintenant à l’obtention d’autres couleurs par la pratique du mélange. Pour cela je vous conseille d'utiliser de l'aquarelle. Certe c'est la tehnique la plus dificile, mais c'est la plus pédagogique pour apprendre les mélanges des couleurs. La raison à cela c'est que nous n'avons pas besoin du blanc pour éclaircir nos couleurs. Un peu d'eau et nos couleurs seront plus claires et toujours lumineuses.

Voici la liste des couleurs que vous devez vous procurer :

1 rouge carmin ; 1 rouge vermillon
1 jaune citron ; 1 jaune orangé (jaune indien) ; 1 ocre jaune
1 bleu céruléum (de la marque Schmincke) ; 1 bleu outremer ; 1 Indigo (de la marque Sennelier)
1 terre de sienne brûlée ; 1 terre d’ombre brûlée


(Personnellement je me fourni sur Internet, voir ci-dessous.)




Attention, vous avez peut être remarqué qu'une couleur qui porte le même nom, n'a pas forcément la même teinte suivant le fabricant. Donc, quand je précise la marque, faites votre possible pour vous la procurer. Sinon vos mélanges ne correspondront pas à ceux dont je vous ferai la démonstration dans les cours suivants.

Avec cette palette de 10 teintes, vous serez en mesure de réaliser, par mélange, toutes les couleurs que vous désirez.

Reproduisez l'image ci-contre sur une feuille de papier dessin. Puis peignez en jaune citron le petit triangle "J". Ensuite peignez en rouge carmin le triangle "R" et pour finir en bleu de Céruléum le triangle "B".

Jaune citron
Rouge carmin
Bleu céruléum

seront donc nos 3 couleurs primaires.

S'il vous plait ? Si je puis me permettre.

Pourquoi utiliser ces 3 couleurs comme primaires, alors que précédemment vous nous avez dit que c'était le Jaune, le Cyan et le magenta ?

Bravo ! Bonne remarque. Ça prouve qu'il y en a qui suivent.

Déjà ne vous y trompez pas. Ce qui est vendu sous les noms Bleu Primaire et Rouge Primaire ne sont, la plupart de temps, ni le Cyan ni le Magenta. Ça prête à confusion mais c'est comme ça. Ensuite, peu de marques proposent dans leurs gammes les vrais couleurs primaires. C'est idiot mais c'est comme ça.

Donc il ne nous reste plus qu'à mettre dans notre palette des couleurs les plus approchantes, donc pour moi les 3 citées ci-dessus.

En fait rien est idiot pour le fabriquant. Quand on réalise que la confusion nous a fait acheter la mauvaise couleur cela a permis au fabriquant de nous avoir vendu des couleurs dont on n'avait pas besoin. Et de ne pas mettre dans la gamme les vrais primaires cela nous oblige à en tester plusieurs afin de choisir celle qui nous convient le mieux.

Vous voyez tout le monde n'est pas perdant dans l'histoire. Comme me l'a si bien dit et à juste titre Monsieur Sennelier : "Mon boulot c'est de vendre de la couleur, le votre c'est d'apprendre à vos élèves à s'en servir correctement."

Bon ceci dit, continuons.

Le mélange des primaires :


a) Prenez du jaune primaire puis ajoutez-y une pointe de rouge primaire, le mélange obtenu est un ORANGE. Mettez cet orange dans le rond placé entre le jaune et le rouge.

b) Après avoir bien rincé votre pinceau faites de même avec le jaune et le bleu. Mettez le VERT obtenu entre le jaune et le bleu.

c) Faites de même pour le VIOLET ( rouge + bleu ) après avoir pris soin de laver vos godets rouge et bleu.

Remarque : Ces trois couleurs s'appellent les COULEURS SECONDAIRES

Définition :
Par le mélange de deux couleurs Primaires
on obtient une couleur secondaire.


Le mélange des 3 primaires :


a) Prenez du jaune primaire en bonne quantité puis ajoutez-y un peu de rouge primaire et un tout petit peu de bleu primaire, le mélange obtenu sur votre palette est un MARRON clair. Posez ce marron clair dans l'arc de cercle en face de l'orange. Voir image ci-dessous.

b) Sans rincer votre pinceau, rajoutez du rouge et du bleu, le mélange obtenu est un MARRON moyen. Posez ce marron moyen dans l'arc de cercle en face du vert.

c) Toujours sans rincer le pinceau, rajoutez du bleu et éventuellement du rouge, le mélange obtenu est un MARRON foncé. Posez ce marron foncé dans l'arc de cercle en face du violet.

d) Toujours sans rincer le pinceau, vous allez maintenant obtenir du NOIR .

Pour ce faire vous devez rajouter du bleu. Si le mélange obtenu tire sur le vert, rajoutez du rouge. Si maintenant le mélange redevient marron rouge, rajoutez du bleu. Si nécessaire renouvelez ces opérations jusqu’à l’obtention du noir. Posez ce noir dans le triangle central.

Remarque : si votre bleu de céruléum n'est pas de la marque Schmincke, vous risquez de ne pas obtenir le noir, mais un gris. Car dans le céruléum normal il y a beaucoup trop de blanc.

Vérification par l'images :


LES COULEURS COMPLÉMENTAIRES


Comme nous venons de le constater, quand nous mélangeons les 3 couleurs primaires entre elles, nous obtenons le noir.

Pour plus de commodité, nous allons donner une lettre pour chaque couleur :

J pour le jaune primaire
R pour le rouge primaire
B pour le bleu primaire

Vous allez maintenant fabriquer un vert en mélangeant le jaune primaire avec le bleu primaire que nous appellerons J + B.

Question :
Que devez-vous faire pour foncer ce vert ?

Par cet exercice nous en déduisons la définition suivante :

La complémentaire d'une couleur donnée est la couleur que l’on doit ajouter à cette couleur pour obtenir le noir.

On dit que ces 2 couleurs se complètent pour donner le noir.

Il est bien évident que le mélange pour l’obtention du noir est un mélange extrême. Donc si à une couleur donnée nous n’ajoutons qu’une petite quantité de sa complémentaire, nous ne ferons que griser ou assombrir cette couleur.

Pourquoi griser une couleur avec sa complémentaire et pas avec du noir ?
Tout simplement parce que le noir ternit la couleur obtenue, alors qu’avec la complémentaire la couleur obtenue est plus sombre tout en gardant son éclat.

Pour mieux mémoriser les couleurs complémentaires, il existe un moyen très simple. Une fois la figure ci-contre mémorisée, il est facile de raisonner de la façon suivante :

Si je souhaite que mon vert devienne noir, je dois y ajouter du rouge. Sur la figure nous observons qu’en partant du vert nous passons par le noir pour arriver à la couleur d’en face qui est le rouge. Le rouge est la complémentaire du vert.

Et inversement, le vert est la complémentaire du rouge. En effet, si nous partons du rouge en passant par le noir nous arrivons au vert.

Nous remarquons au passage que la complémentaire d’une couleur secondaire (mélange de 2 primaires) est obligatoirement une couleur primaire (primaire restante) et inversement la complémentaire d’une couleur primaire est obligatoirement une secondaire.

Pour les couleurs tertiaires, couleurs entre une primaire et une secondaire, le raisonnement est identique.

Autre remarque : Qu'elle est la complémentaire du marron ?
Réponse : Sur la figure ci-dessus, nous constatons que le marron clair s’apparente à un orange terne, nous considèrerons donc que les marrons sont des oranges. De ce fait, la complémentaire du marron sera le bleu, comme pour l'orange.

Vous avez bien compris le principe ! Alors vous pouvez répondre sans hésiter à cette question :

Que faut-il ajouter au violet pour le foncer ?

Hé oui ! C'est incroyable et pourtant ça marche. Essayez vous-même ! Fabriquez un violet (B+R) et ajoutez-y un peu de jaune et votre violet va foncer. S'il devient marron c'est que votre violet est, soit trop rouge (pourpre) soit trop bleu (mauve).

Ce petit exercice signifie qu'il faut toujours faire confiance aux règles fondamentales
même si cela vous semble improbable.

Vérification par l'images :



Trouver vos couleurs par la réflexion

au lieu de les chercher par tâtonnement.



Par l’étude des complémentaires, nous avons appris que plus nous rajoutons de complémentaire à une couleur, plus cette couleur foncera.

Le problème que nous rencontrons à ce stade c’est ; trouver facilement les bons dosages. Pour remédier à ça, les peintres utilisent dans leur palette des pré mélanges.

Un pré mélange est un mélange de base choisi par le peintre pour élaborer sa palette. Comme il en connaît toutes les caractéristiques cela va lui permettre de trouver ses couleurs par la réflexion au lieu de les chercher par tâtonnement.

La maîtrise de l’usage de ces prés mélanges vous sera expliquée plus tard dans un Vidéostage si vous le désirez. Mais nous en reparlerons. Vous aurez ainsi la réponse à ce "secret" bien gardé ; comment font les peintres pour réussir leurs mélanges du premier coup ?

Si vous pensez que je vous montrerai, comme dans les livres, comment faire des nuanciers pour mémoriser vos mélanges, vous êtes loin du compte.

Je n'irai pas jusqu'à dire que faire des nuanciers c'est de la foutaise, mais je n'en pense pas moins.

Par les nuanciers, vous apprenez à composer des couleurs puis à choisir celle qui convient le mieux. Or un peintre ne travaille pas comme ça. Le peintre, au contraire, décompose la couleur qu'il veut obtenir, afin de savoir, selon les couleurs dont il dispose sur sa palette, quel mélange il doit faire pour reproduire cette couleur et à quel dosage. et

Vous voyez la différence !

Dans le premier cas vous devez mémoriser des milliers de mélanges puis choisir celui qui vous convient, alors que dans le second cas, c'est la couleur que vous voulez obtenir qui vous dicte le mélange que vous devez faire, ainsi vous n'avez plus besoin de nuanciers pour mémoriser vos couleurs.

Voila pourquoi on dit que les couleurs "parlent" à un peintre.

Mais en attendant de découvrir ce secret valable quelle que soit votre technique (aquarelle, huile, etc.), je vous conseille de vous familiariser à la technique de l'aquarelle par les exercices qui suivent. Je le répette, je ne veux pas faire de vous des aquarellistes mais simplement vous faire utiliser cette techniue qui est la plus pédagogique pour bien assimiler les bases. Même si le résultat obtenu est un beau gâchis.


Mélanges particuliers. Rarement expliqués dans les livres.


Voyons comment obtenir le rouge vif, comme celui-ci , avec notre palette ?

Les 2 rouges de notre palette sont :

le Carmin (trop pourpre) et le Vermillon (trop orange) .


Comme vous le constatez, aucun des deux ne convient. Alors le plus simple ne serait-il pas d’aller en acheter le rouge qui vous convient ?

Surtout pas !!! Il y a encore plus simple. Prenez du Vermillon sur votre pinceau puis ajoutez-y un petit peu du Carmin. Mélangez. Et voila ! Le tour est joué.

De plus avec ce procédé, suivant le dosage de l’un et de l’autre des deux rouges, vous pouvez obtenir toute une gamme de rouges.

Vérification par l'images :

Faites la même chose avec le bleu de Céruléum et le bleu Outremer et vous obtiendrez différents bleus dont le bleu de Cobalt.

Passons maintenant aux exercices.



Imprimez le premier dessin (en triple) et peignez-le uniquement avec les couleurs suivantes et leurs mélanges. :

1°) Une première fois avec ces seules couleurs et leurs mélanges : Jaune citron, Terre de Sienne brûlée, bleu de Céruléum et bleu Outremer.

2°) Puis dans le même esprit une deuxième fois avec : Vermillon, Jaune Indien, bleu Outremer et Indigo.

3°) Et pour finir une troisième fois avec : Ocre jaune, bleu Outremer, Indigo et terre de Sienne brûlée.


Imprimez maintenant le deuxième dessin en cliquant sur l'imprimante qui apparaît quand vous passez la souris sur l'image ci-dessus. Pour le mettre en couleur, utilisez les couleurs suivantes et leurs mélanges comme précédemment :

1°) Bleu Outremer, Terre de Sienne brûlée. (cela vous donnera un paysage hivernal)

2°) Vermillon, Jaune Indien, bleu Outremer, Indigo et terre d'ombre brûlée.


Ce genre d'exercices a pour objectif de travailler, comme en musique, nos gammes. En peinture on appelle une gamme un choix limité de couleurs pour peindre un tableau dans le but de maîtriser au mieux toutes les teintes possibles des différents mélanges. Dans notre palette nous disposons de 10 couleurs, le fait d'en sélectionner un nombre limité parmi elles s'appelle une gamme.

Pour le troisième dessin vous pouvez le peindre en utilisant les mêmes gammes que les exercices précédents. Mais vous pouvez également le réaliser, ainsi que les deux autres, avec des gammes de votre choix pour découvrir d'autres teintes qui vous seront très utiles pour la réalisation de vos futurs tableaux.

Voilà, comme pour la perspective, il vous reste encore pas mal à découvrir sur le mélange des couleurs. Je ne vous ai mis ici que ce que vous pouvez lire dans les livres mais expliqué de façon plus compréhensible.

Ici s'achève la partie gratuite de mon site. Pour continuer votre formation, si ma pédagogie vous convient, je vous invite à poursuivre avec mes livres.