Le problème, ce ne sont pas les objets ou les portrait en eux-mêmes, mais les grandes surfaces, les fonds. Par exemple les troncs ne posent pas de problèmes, mais les grands espaces... Et là encore, il y a une différence entre un mur, une façade et une prairie, la mer, le ciel... En saturant le papier, on fait disparaître la profondeur. C'est mon sentiment d'aquarelliste. Les "grands" du crayon de couleur prennent pour modèle des natures mortes, avec un luxe du détails fantastique, des visages, des animaux, des mains, (réalisations époustouflantes de réalisme) etc... mais rarement ils traitent le paysage.
(sauf André, allez voir son blog. cherchez spécialement les paysages au CC, ça vaut le détour !!!)
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